06/12/2011
24/11/2011
Résistance(s) - 3 décembre 2011 / 14h30
Résistance(s)
Un
thème décliné en trois volets durant l'année 2011 :
---la
Résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale
---la
résistance au racisme et à l'esclavage
---Résister
pour faire évoluer la société
:::::::::::::::::::::::::::::::::
Résister
pour faire évoluer la société
:::::::::::::::::::::::::::::::::
Conférence-débat
M.
JUDAS, délégué syndical, parlera de la lutte pour la
reconnaissance des employés
reconnaissance des employés
victimes de l'amiante au Tripode.
samedi
3 décembre à 14h30
:::::::::::::::::::::::::::::::::
bibliographie
Une
sélection de livres sur le thème est disponible à la
bibliothèque.
bibliothèque.
Les Racontines du poulailler - samedi 26 novembre à 10h30
Les
Racontines
du
poulailler
par
la Cie Sous le Parasol
Samedi
26 novembre 2011
à
10h30
à
la bibliothèque Emilienne Leroux
Une
poule sur un mur... en goguette
avec un chat, un cochon
et un canard !
avec un chat, un cochon
et un canard !
Ecoutez
! Ecoutez !
Il
s'en passe des choses
près
du poulailler !
spectacle
pour les
1,
2, 3 ans
gratuit
Retour sur... No missié, paroles de femmes esclaves - 10 mai 2011
(contée-spectacle en musique)
(Source : Couleur locale printemps 2011)
Impressions des spectateurs...
Merci
de venir jusqu’à nous dans nos « quartiers », venir
semer quelques « graines » d’histoires pour ne pas
oublier. Dominique
Grâce
à vous je viens de passer une très merveilleuse soirée. J’ai été
très émue et touchée par votre façon de conter. J’ai beaucoup
apprécier le musicien. Oui, tout ceci m’a bouleversé. Un grand
merci à vous trois. Irène
Très
contente de ma soirée. Je n’avais pas envie de venir et je suis
très contente. Evelyne
J’ai
aimé la musique et les chants. Alix
Merci
à vous trois. Jacqueline
Je
ne regrette pas du tout d’avoir traversé toute l’agglomération !!
Merci encore et longue vie. Beaucoup d’émotion. Merci pour ce
magnifique spectacle. Marontelka
Tant
de bonheur à vous écouter ; les poils se redressent et les
larmes montent aux yeux : bravo et merci pour ce partage si
passionné. Gabriel
J’ai
adoré la musique et les chants en anglais. J’ai qu’un seul mot à
dire : Bravo et merci. Sandra – 10 ans
Bien
la soirée. Il faut continuer. Nathalie
Merci
pour ces belles histoires. Salima
Merci !!
Annick
(Source : http://nomissie.blogspot.com/)
(Source : http://nomissie.blogspot.com/)
16/11/2011
Retour sur... le rallye FRANCAS autour des droits de l'enfant
Mercredi 16 novembre 2011. Les FRANCAS organisent un rallye qui prend la forme d'une quête au service d'un pays imaginaire. Deux missions sont confiées aux participants : récolter des prénoms (ainsi les habitants de TOU VANELA pourront enfin se nommer) et apprendre les droits des enfants pour les transmettre aux ambassadeurs de ce nouveau pays.
Les participants se sont rendus dans divers endroits des quartiers du Breil et des Dervallières. Dans chaque lieu, ils ont participé à une animation autour d'un droit en particulier.
Deux groupes d’enfants sont passés récolter des indices à la bibliothèque Emilienne Leroux pour résoudre des énigmes : dessiner une xistera, deviner quel instrument de musique est représenté ou ce que désigne le mot "chàmpo".
Après avoir retrouvé les livres correspondants et glané les informations pour répondre à l'énigme, les enfants se sont regroupés et ont échangé sur le droit à la culture.
Un beau moment de partage !
Un retour en image en cliquant ici, sur le site des Francas Pays de Loire.
12/11/2011
Prix des lecteurs Nantais 2012
La bibliothèque vous propose de participer au Prix des Lecteurs Nantais. Organisé par l'ACENER (association des comités d'entreprises) il consiste à décerner un prix à l'un des 10 romans français et européens sélectionnés (romans publiés dans de petites et moyennes maisons d'édition). L'année sera également ponctuée de rencontres avec les auteurs des romans en lice (dans les comités d'entreprises, bibliothèques et lycées partenaires).
Le samedi 19 novembre à 11h, nous vous présenterons la sélection de livres. N'hésitez pas à vous renseigner à l'accueil !
La liste des romans en lisse :
Le héron de Guernica
de Antoine CHOPLIN - Editions du Rouergue
Guernica,
avril 1937. Jeune peintre autodidacte, Basilio passe son temps dans
les marais à observer des hérons cendrés. Ce n’est pas qu’il
se sente extérieur au conflit, il a même cherché à s’enrôler
dans l’armée républicaine. Mais tandis que les bombardiers
allemands sillonnent déjà le ciel, il s’acharne à rendre par le
pinceau le frémissement invisible de la vie, dans les plumes d’un
de ces oiseaux hiératiques. Dans quelques heures, Guernica sera une
ville en cendres, mais c’est un peintre autrement célèbre qui va
en rendre compte, magistralement. L’un comme l’autre, pourtant,
le petit peintre de hérons tout autant que le Picasso mondialement
connu nous interrogent sur les tragédies de la guerre et la
nécessité de l’art pour en témoigner.
Né en 1962, Antoine Choplin vit près de Grenoble, où il partage son temps entre l’écriture et l’action culturelle. Il est directeur de « Scènes obliques », dont la vocation est d’organiser des spectacles vivants dans les lieux inattendus, des sites de montagne. Il est aussi l’animateur depuis 1996 du Festival de l’Arpenteur (Isère), qui chaque mois de juillet programme des rencontres inhabituelles entre des créateurs (notamment des écrivains) et le public. Il s’est fait connaître en 2003 lors de la publication de son roman, Radeau, (La Fosse aux Ours, 2003), qui a connu un vrai succès populaire.
Le Cabaret des oubliés
de Philippe DELEPIERRE et Bruno VOUTERS - Editions Liana Levi
La
Grande Guerre. Le deuxième classe Alfred Berthier joue sa vie dans
les tranchées. Apr7s un tir d’obus ravageur, les brancardiers le
tirent d’un charnier quasi indemne, mais sans matricule et sans
uniforme. Re baptisé Adam per les infirmiers, il feint
l’amnésie pour ne pas retourner au front et oublier les fantômes
de la guerre. Peinture de la France des années 20, hommage à la
gouaille et à la générosité ch’ties, roman de la renaissance
d’un homme, Le Cabaret des oubliés fait un drôle de pied de nez à
la Grande Guerre.
Philippe
Delepierre, ancien professeur de lettres à Villeneuve d’Ascq,
est aujourd’hui en retraite.
Bruno Vouters est l’auteur de plusieurs ouvrages et de documentaires sur le Nord et la peinture. Il est également journaliste à La voix du Nord.
Bruno Vouters est l’auteur de plusieurs ouvrages et de documentaires sur le Nord et la peinture. Il est également journaliste à La voix du Nord.
Ensemble
ils ont participé à la fin des années 80 à la création du
Journal des fous.
Pour tout l’or du Brésil
de Jean-Paul DELFINO - Editions Le Passage
Novembre
1755, Lisbonne. Un tremblement de terre historique ravage la capitale
du Portugal. Pour la reconstruire, le Marquis de Pombal fait appel à
Dom Cristiano da Fonseca, jeune fils d’un commerçant lisboète. Au
même instant, Zumbi, fils d’esclave, quitte Rio de Janeiro pour
faire fortune dans la quête de l’or et des diamants à Ouro Preto,
au Brésil. Au fil des aventures, les deux hommes verront leurs
destinées se croiser et se déchirer, sur fond de soif de l’or,
d’essor du Brésil.
Jean-Paul Delfino vit et travaille à Aix-en-Provence. Spécialiste du Brésil, il est également auteur de documents et d’ouvrages pour la jeunesse.
En
attendant Robert Capa de Susana FORTES traduit de l’espagnol
par Julie Marcot - Editions Héloïse d’Ormesson
En
1935, gravitant dans les cercles intellectuels de la rive gauche de
Paris, la jeune émigrée Gerda Pohorylle rencontre un autre réfugié
Juif, venu de Budapest, André Friedmann. Photographe passionné, il
l’initie à son art. Bientôt les deux amants obtiennent
leurs lettres de noblesse sur les sentiers du front espagnol, en
gravant les atrocités du franquisme sur la pellicule. Ils deviennent
deux des plus grands photographes de guerre sous le nom de Robert
Capa et Gerda Taro.
Susana
Fortes, née en 1959 en Espagne est l’auteur de huit romans. Elle a
obtenu de nombreuses récompenses littéraires, dont le prix Fernando
Lara pour « En attendant Robert Capa ». traduit en douze langues,
il sera bientôt adapté au cinéma par Michael Mann.
Trois lumières
de Claire KEEGAN traduit de l’anglais (Irlande) par Jacqueline Oudin - Editions Sabine Wespieser
Dans
la chaleur de l’été, un père conduit sa fille dans une ferme du
Wexford, au fond de l’Irlande rurale. Bien qu’elle ait pour tout
bagage les vêtements qu’elle porte, son séjour chez les Kinsella,
des amis de ses parents, semble devoir durer. Sa mère est à nouveau
enceinte, et il s’agit de la soulager jusqu’à l’arrivée du
nouvel enfant. Pour elle qui n’a connu que l’indifférence dans
une fratrie nombreuse, la vie prend une nouvelle dimension. Claire
Keegan brosse ici le portrait magnifique d’une enfant qui apprend à
grandir entourée d’adultes mystérieux et d’une nature dont la
beauté coupe le souffle.
Claire
Keegan est née en 1968 en Irlande. Elle a grandi dans une ferme du
comté de Wicklow, qu’elle a quittée pour aller étudier à La
Nouvelle-Orléans et au Pays de Galles. Elle vit aujourd’hui près
de Sligo.
Rouge argile
de Virginie OLLAGNIER - Editions Liana Levi
Rosa
vient de perdre Egon, son père « adoptif », seul lien qui la
rattache encore à sa maison d’enfance à Meknès, au Maroc. Venue
pour un dernier adieu et pour régler la succession, prête à faire
table rase de cet héritage qui l’encombre dans sa vie bien établie
et bien réglée de Saint-Germain-en-Laye, elle va retrouver une part
d’elle-même soigneusement enfouie, depuis vingt ans. Assaillie par
des souvenirs encombrants et
par la découverte de pans ignorés de l’histoire de ses parents, dévorée par l’affection de sa nourrice marocaine, étourdie par les récits de sa marraine venue la soutenir, Rosa voit peu à peu le désordre et les fantômes du passé s’insinuer dans une vie où chaque chose était à sa place.
par la découverte de pans ignorés de l’histoire de ses parents, dévorée par l’affection de sa nourrice marocaine, étourdie par les récits de sa marraine venue la soutenir, Rosa voit peu à peu le désordre et les fantômes du passé s’insinuer dans une vie où chaque chose était à sa place.
Virginie Ollagnier, née à Lyon en 1970, est formatrice en communication écrite et co-scénariste de la bande dessinée Kia Ora.
Des vies d’oiseaux
de Véronique OVALDE - Editions de L’Olivier
Quand
sa fille Paloma déserte sans prévenir la somptueuse villa
familiale, Vida Izzara croit en deviner la raison : elle serait
partie avec son amant vivre une vie moins conventionnelle. Jusqu’au
jour où Vida comprend que c’est elle aussi que Paloma fuit. Aidée
par Taïbo, qui enquête sur un couple de jeunes gens habitant
clandestinement les demeures inoccupées de la région, elle part à
la recherche de sa fille. Ce périple la conduira de l’Irigoy de
son enfance aux recoins secrets de son cœur.
Les vies d’oiseaux, ce sont celles que mènent ces quatre personnages dont les trajets se croisent sans cesse. Chacun à sa manière, par la grâce d’un nouvel amour, est amené à se défaire de ses liens – conjugaux, familiaux, sociaux – pour éprouver sa liberté d’exister.
Les vies d’oiseaux, ce sont celles que mènent ces quatre personnages dont les trajets se croisent sans cesse. Chacun à sa manière, par la grâce d’un nouvel amour, est amené à se défaire de ses liens – conjugaux, familiaux, sociaux – pour éprouver sa liberté d’exister.
Véronique
Ovaldé est née en 1972 au Perreux-sur-Marne, travaille dans
l'édition et vit à Paris.
Requins d’eau douce
de Heinrich STEINFEST traduit de l’allemand (Autriche) par Corinna Gepner - Editions Carnets Nord
Un
corps flotte dans une piscine au vingt-huitième étage d’un
immeuble viennois : déchiqueté et unijambiste. Une minuscule
prothèse auditive gît au fond du bassin. Aucune piste sérieuse en
vue. L’homme aurait été tué par un requin, ce qui ressemble
plutôt à une mauvaise plaisanterie. Richard Lukastik, de la police
de Vienne, prend les choses en mains. À 47 ans, l’inspecteur passe
pour antipathique mais irréprochable, retors et fou. Il se déplace
en Ford Mustang or mat, n’écrase jamais ses cigarettes, dîne
chaque soir d’une soupe chez ses parents, n’utilise pas de gants
au sens propre comme au figuré, admire le philosophe Ludwig
Wittgenstein dont il a toujours un livre en poche qu’il ouvre à
l’occasion à n’importe quelle page pour trouver un sens à sa
journée.
Né en Australie en 1961, d’origine autrichienne mais vivant à Stuttgart, Heinrich Steinfest est considéré outre-Rhin comme un auteur culte, trois fois lauréat du prix du roman policier.
Une autre époque
de Alain Claude SULZER traduit de l’allemand (Suisse) par Johannes Honigmann - Editions Jacqueline Chambon
Sans
savoir pourquoi, un adolescent se met à s’intéresser à la montre
de son père alors qu’il n’a jamais regardé sa photo posée sur
une étagère de sa chambre. Il a seize ans, et sa mère lui a très
peu parlé de ce père mort à sa naissance. Et voilà qu’à
présent il ressent un besoin impérieux d’utiliser cette montre et
de savoir qui était celui qui l’a portée avant lui. Retrouvant
derrière la photographie le nom et l’adresse parisienne du
photographe, qu’il sait être son parrain mais qu’il n’a jamais
vu, il décide de partir à Paris sur un coup de tête, sans prévenir
sa mère et son beau-père. Ce qu’il va découvrir, une capitale,
un milieu artistique, la liberté des moeurs, l’homosexualité dont
il ignore tout (c’était une autre époque), va être pour lui une
sorte de voyage initiatique qui le libérera d’une enfance trop
protégée.
Alain Claude Sulzer est né en 1953 à Riehen près de Bâle, où il vit. Une autre époque est son neuvième roman.
Code 1879
de Dan WADDELL traduit de l’anglais par Jean-René Dastugue - Editions du Rouergue
La journée de l’inspecteur Grant Foster commence mal : le cadavre d’un homme, que son assassin a amputé des deux mains avant de le poignarder, vient d’être découvert, abandonné dans un cimetière de l’ouest londonien. Le corps semble être tombé du ciel. Lors de l’autopsie, Grant Foster relève, taillée au couteau dans la peau de la victime, une inscription énigmatique. Le seul talent d’enquêteur de Foster ne suffira pas à venir à bout de ce mystère. L’indice laissé par le tueur va l’obliger à faire appel à Nigel Barnes, un généalogiste professionnel. Alors que, peu de temps après, un deuxième corps est identifié, ils vont se retrouver plongés dans les bas-fonds du Londres victorien de la fin du XIX ème siècle et parcourir les méandres obscurs d’une affaire criminelle survenue en 1879 et qui semble liée aux meurtres. Une course contre la montre s’engage : le psychopathe semble suivre un schéma qui, selon Nigel Barnes, va conduire à d’autres exécutions. Foster sait qu’il n’a que peu de temps avant que le tueur n’arrive au bout de son parcours sanglant et ne disparaisse à jamais.
Né en 1972, Dan Waddell a travaillé comme journaliste pigiste pour de nombreux titres de presse Outre-Manche. En 2003, à la naissance de son fils, il s’intéresse à l’origine de sa famille et entame des recherches généalogiques. Il découvre un secret de famille et réalise combien le passé influe sur la personnalité. Il imagine alors une série policière autour de la généalogie, où des crimes passés viennent hanter le temps présent.
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